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Caryer cordiforme
Bitternut hickory
Carya cordiformis (Wangenh.) K. Koch
Juglandacées
Arbre feuillu pouvant atteindre de 25 à 35 m de hauteur et 50 cm de diamètre. Tronc droit et souvent dégarni sur plus de la moitié de sa hauteur. Cime

n.f. – Partie terminale d’un arbre, celle qui porte les branches et le feuillage.

courte et arrondie.
Photo Olivier Deshaies.
Écorce grise demeurant lisse et striée de bandes verticales irrégulières pendant de nombreuses années. Chez les arbres matures, crêtes écailleuses séparées par des sillons peu profonds.
Chatons mâles pendants réunis en groupe de 3 à la base des pousses annuelles. Chatons

n.m. – Inflorescence souple et souvent pendante constituée d’un axe sur lequel des fleurs sont insérées sans pédoncule. Fréquent chez les arbres feuillus.

femelles pauciflores

adj. – Qui porte un petit nombre de fleurs.

dressés à l’extrémité des nouvelles pousses.
Photo Ressources naturelles, Service canadien des forêts.
Au Québec, on le retrouve uniquement dans les érablières du sud de la province. Détermine le domaine de l’érablière à caryer cordiforme

adj. – En forme de cœur.

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Arbre tolérant l’ombre. Le bourgeon terminal est remarquable par sa couleur jaune et ses écailles

n.f. – Petite feuille épaisse et résistante (enveloppe) entourant le bourgeon dormant.

non imbriquées. Le bois présente de grandes qualités de dureté et de résistance à la flexion, ce qui en a fait une espèce très utilisée par le passé dans la fabrication d’outils.
Autre nom français fréquemment utilisé : noyer amer